Informations syndicales concernant principalement les salariés de la RATP. La CRP RATP et la CCAS RATP sont aussi évoquées.Les décisions prises concernant les transports publics par les ministres de tutelle peuvent être abordées.Enfin les jugements rendus par le TASS, le TGI, les prud’hommes, les cours d’appel ou cours de Cassation sont traitées avec grand intérêt.
La RATP nous met en danger et se permet de refuser nos AT via son organisme de sécurité sociale (dit la CCAS de la RATP).
L'histoire d'un contrôle à la descente qui tourne mal tout le monde l'a vécu au SCC.
Le contrôle sur notre réseau de surface est le plus dur, le plus violent physiquement et psychologiquement.
La RATP le sait depuis longtemps et fait semblant de tout mettre en œuvre au travers de formation pour que tout se passe pour le mieux en ayant le culot lors de celles ci de nous donner des injonctions paradoxales : "Faites du chiffre d'affaire sinon pas de PQS et veillez à votre sécurité" !!!! Équation impossible à résoudre depuis 2009...
Mais là avec le courrier de la CCAS RATP c'est aller beaucoup trop loin :"L'enquête administrative n'a pas permis d'établir l'existence de fait accidentel.... vous avez agi de votre propre chef en obstruant la descente des voyageurs et de ce fait vous avez rompu le lien de subordination avec votre employeur ; en conséquence vous n'êtes pas en AT"
Les agents qui reçoivent ce courrier doivent contester le refus dans les délais et ne pas rester seuls. Il faut que cela se sache.
La direction doit prendre toutes les mesures qui s'imposent, le Contrôle à la chute devenu contrôle à la descente a toujours posé problème. Elle est même au courant que ce type de contrôle est effectué par des équipes en civil. Parfois même ces agents en civil ne sont même pas formé...,,,
Pour le SAT-RATP les choses sont claires. Les agents viennent au travail pour gagner leur vie et non pas pour perdre la santé.
La RATP vient d'envoyer à travers cet exemple un message que nous devons entendre : La diminution des accidents du travail se fera au détriment de ses salariés.
Le SAT-RATP vous invite à prendre connaissance du soi-disant engagement de la direction pris au travers de l'accord sur la prévention sur les risques psychosociaux en 2011.
Pour que vous sachiez de quoi il en retourne nous vous livrons ci après son préambule.
Puis télécharger notre tract et découvrez la triste réalité.
Bonne lecture à vous et n’hésitez pas à nous laisser vos commentaires.......
Prévention des risques psychosociaux :
"Les signataires de ce texte, Direction de l’entreprise comme Organisations Syndicales, réaffirment en premier lieu leur volonté que soit préservée la santé physique et mentale des personnels de la RATP qui constitue à la fois un enjeu d’efficacité économique et social, et pour lequel elles s’engagent dans une démarche volontariste de prévention des risques professionnels et d’amélioration des conditions de travail, de qualité de vie et de bien être au travail.
Cet accord s’applique, sans préjudice de l’ensemble des obligations qui s’imposent à l’employeur et des responsabilités qui sont les siennes en matière de prévention des risques professionnels telles que résultant notamment des articles L. 4121-1 et L. 4121-2 du code du travail, ainsi que, de manière plus générale du respect des textes légaux, réglementaires et conventionnels qui lui sont applicables en terme de gestion des ressources humaines.
La direction de l’entreprise n’en souhaite pas moins concrétiser avec les partenaires sociaux une démarche structurée et cohérente de prévention des risques psychosociaux, en s’appuyant sur les nombreuses actions initiées par l’entreprise et les représentants du personnel qui témoignent de sa volonté d'apporter des réponses pertinentes aux salariés et aux collectifs de travail.
L’action de l’entreprise en matière de prévention des risques professionnels s’inscrit dans le cadre global de son action en faveur de la santé de tous les salariés (statut, CDI, CDD), à laquelle contribue également le maintien d’une couverture sociale et l’accès à une offre de soins de haut niveau.
Les partie prenantes s’inscrivent également tant dans le cadre de l’accord national interprofessionnel du 2 juillet 2008, qui indique notamment que « la lutte contre le stress au travail doit conduire à une plus grande efficacité et une amélioration de la santé et de la sécurité au travail, avec les bénéfices économiques et sociaux qui en découlent pour les entreprises, les travailleurs et la société dans son ensemble », que dans celui de l’accord du 26 mars 2010 sur le harcèlement et la violence au travail, lequel fait du « respect de la dignité des personnes à tous les niveaux un principe fondamental qui ne peut être transgressé, y compris sur le lieu de travail ».
Cette démarche est menée de manière concrète, pluridisciplinaire et partagée avec l’ensemble des acteurs médicaux, sociaux et de prévention (dont les instances représentatives du personnel), et de gestion des ressources humaines dans le respect de leurs prérogatives respectives.
Elle a vocation à s’appuyer pour sa déclinaison opérationnelle notamment sur les préconisations méthodologiques et les recueils de données de l’INRS et de l’ANACT.
La spécificité des métiers des salariés, au service du public - et pour beaucoup d’entre eux au contact du public - les expose à des situations potentiellement conflictuelles, qui ont conduit l’entreprise à engager depuis de nombreuses années des dispositifs spécifiques à la fois d’accompagnement des salariés victimes d’incidents ou d’événements traumatogènes et de formation à la gestion de ce type de situations, afin d’éviter qu’elles ne s’aggravent.
Pour rappel, ces trois niveaux de prévention sont définis par l’organisation mondiale de la santé (OMS) comme suit :
- La prévention primaire : consiste à éviter la survenance même du risque en combattant les facteurs générateurs. Située très en amont, s’appuyant sur une évaluation des risques, cette prévention utilise par exemple l'éducation, la formation et l'information auprès de la population.
- La prévention secondaire : consiste à limiter les conséquences de la survenance du risque par un diagnostic précoce et par la mise en œuvre d’actions adaptées
- La prévention tertiaire : consiste à réduire les suites ou les séquelles du risque et à favoriser les rétablissements des conditions antérieures à la survenance.
L’entreprise, consciente que ses résultats dépendent des performances collectives, elles-mêmes résultant des performances individuelles, est soucieuse de créer les conditions qui permettront à chaque salarié d’« être bien au travail ». Cet objectif est partagé par les Organisations Syndicales signataires. Par conséquent, la mobilisation durable de l’ensemble de ses ressources humaines sera rendue effective. Les Organisations Syndicales signataires, conscientes que des résultats de ce travail et des démarches engagées dépendent la qualité de vie au travail, l’amélioration des conditions de travail, la qualité de vie en général, souhaitent que soient créées les conditions de mise en œuvre de mesures capables d’agir efficacement et durablement sur la préservation de la santé des personnels de la RATP."
Dans son tract du 10/01/2018 sur « la réforme médicale en grand danger » la CGT-RATP s’émeut non-pas, comme chacun aurait pu s’y attendre à la suite des éditos du SAT-RATP sur la nullité des réformes, de la violation par l’entreprise de l’ensemble des règles protectrices instituées par le statut du personnel et son instruction générale n° 6/VII de 1952 (remplacée dans la parfaite indifférence des organisations syndicales, sauf le SAT-RATP qui a sollicité en justice l’annulation de la nouvelle IG 6 A du 1er mars 2017) mais seulement du fait que le médecin-conseil de la Caisse de retraite, qui ne participe plus depuis au moins 2010 aux commissions médicales, se serait opposé à la réforme d’une dizaine d’agent !!!
Avant de poursuivre, le SAT-RATP précise qu’il est prêt à venir en aide à ces agents s’ils le désirent. Dans le cas inverse nous croyons utiles de leur rappeler et c’est d’importance -- ce que la CGT-RATP a sciemment omis de vous indiquer dans son tract -- c’est que le médecin conseil de la Caisse de retraites (CRP) ne peut pas légalement s’opposer à la réforme de quel que agent ce soit, ce pouvoir appartient, conformément à l’article 13, alinéa2, du règlement des retraites issu du décret n° 2008-637 du 30 juin 2008, au seul directeur de la CRP-RATP.
Ce n’est donc pas comme le prétend la CGT-RATP le médecin conseil de la CRP-RATP qui s’est opposé à la réforme des 10 agents évoqués mais le directeur de cet organisme.
Au demeurant, on imagine mal un médecin -- quand bien même fut-il de la CRP -- n’assistant pas aux séances de la commission médicale et donc, ne procédant à aucun examen médical des agents déférés, ni ne consultant les dossiers médicaux de ces derniers, et sans même les interrogeant sur leur situation et état de santé, venir à postériori de la commission médicale s’opposer à la réforme d’agents.
Deux raisons à cela. La première, c’est qu’il pourrait se voir traduit devant le conseil de l’ordre des médecins pour de tels faits. La seconde, c’est que le décret du 30 juin 2008 le lui interdit formellement. En effet, si son article 13 prévoit que « siège en outre au moins un médecin-conseil de la caisse de retraites du personnel de la régie », il n’a pour autant donner à ce dernier le pouvoir de se prononcer en dehors de la commission médicale et à fortiori, en dehors de tout examen du salarié et/ou de son dossier médical.
Au demeurant quand bien même le médecin-conseil de la CRP aurait participé à la commission médicale, ce qui, nous le savons, n’est plus le cas depuis 2010, notons que le statut (art.94) -- ce que ne peut ignorer la CGT-RATP -- ne prévoit nullement que la décision de réforme ne pourrait-être prise qu’à la majorité absolue de l’ensemble de ses membres.
Par suite, même en cas d’avis contraire du médecin-conseil de la CRP celui-ci se serait trouvé en minorité et donc, la décision de réforme aurait été normalement validée par le président de la Régie, ou son représentant, et le directeur de la CRP pour motiver son opposition aurait été alors obligé de solliciter la mise en œuvre la procédure d’appel (art.95) et solliciter par cette occasion une mesure d’expertise médicale à l’issu de quoi la commission médicale d’appel aurait soit confirmer la décision prise par la commission de première instance, soit infirmer ladite décision.
En outre, la CGT-RATP nous expose dans son tract que la réforme serait réservée qu’aux agents déclarés inaptes définitifs à leur emploi statutaire et ayant au moment de la demande de réforme au moins trois mois d’arrêt consécutifs.
Cette vision du statut est par trop limitative puisque la réforme ne résulte pas que de cette situation. En effet, un agent peut parfaitement être déclaré inapte définitif à son emploi statutaire voire, à tout emploi à la RATP, à l’occasion de la visite médicale périodique sans pour cela avoir cumulé durant la période précédente trois mois d’arrêt consécutif !
Sachez, contrairement aux limitations apportées par la CGT-RATP certainement pas dans l’intérêt des agents, que si vous faites l’objet d’une décision d’inaptitude définitive à votre emploi, qu’elle que soit votre position administrative à ce moment, vous êtes légitime (sur le fondement de l’article 50 du statut), si votre reclassement est impossible, à solliciter votre passage à la commission médicale aux fins qu’elle statue sur votre inaptitude à tout emploi à la RATP et sur votre réforme.
S’agissant maintenant de la rémunération, il semble, d’après les cas exposés dans le tract de la CGT-RATP, que les agents concernés aient épuisé leur droit à congés de maladie rémunérés et qu’à la suite ils aient été déclarés inaptes définitifs à leur emploi statutaire puis réformés avant que n’intervienne l’opposition prétendument faite par le médecin conseil de la CRP (je demande à ce que l’on m’en apporte la preuve).
Si tel est réellement le cas, le SAT-RATP s’étonne alors de ne pas voir la CGT-RATP informer dans son tract les agents se trouvant dans cette situation de leur droit à rémunération.
En effet, à défaut de reclassement, de licenciement pour inaptitude -- ce qu’est la réforme médicale (voir nos éditos sur le sujet) -- notifié à l’issue du délai d’un mois à compter de la date de la visite de reprise, l’employeur a l’obligation légale de reprendre le versement du salaire (article L.1226-4 du code du travail) quelle que soit l’origine de l’inaptitude, que celle-ci soit temporaire ou définitive et même si l’agent est déclaré inapte à tout emploi.
Le versement du salaire doit être repris même si la procédure de licenciement, ou ici de réforme, est en cours à cette date (Cass. Soc., 23 mars 2011, n° 10-10.896), ou si le salarié a refusé un poste de reclassement (Cass. Soc., 18 avril 2000, n° 98-40.314).
Soyez tous conscients que cet état du droit n’est pas ignoré de la CGT-RATP ! Le SAT-RATP pour sa part n’a qu’un mot à lui répondre, il ne suffit pas de se morfondre dans un tract sur le drame social vécu par des agents en fin de droit (à congés de maladie rémunérés) faut-il encore apporter les solutions pour mettre un terme à leur situation inadmissible.
Le SAT-RATP va donc ci-après combler les omissions de la CGT-RATP qu’elles soient délibérées ou simplement le fruit de son incompétence.
L’agent doit, pour voir reprendre le versement de son salaire, absolument solliciter une visite de reprise, quand bien même le médecin du travail avait déjà pris une décision d’inaptitude définitive. En effet, à la suite, il peut soit reprendre une nouvelle décision d’inaptitude définitive, soit prendre une décision d’aptitude à l’emploi voire, avec réserves.
Ledélai d’un mois, à compter duquel l’employeur a l’obligation de reprendre le versement du salaire, court à compter de la date à laquelle le médecin du travail déclare (ou a déclaré de nouveau) le salarié inapte, soit le second examen médical en cas d’inaptitude définitive, soit l’examen unique en cas de danger immédiat pour la santé et la sécurité du salarié ou celle d’un tiers (Cass. Soc., 6 février 2008, n°06-45.551).
Comprenez-bien que si vous restez en position de maladie (même non rémunéré) l’employeur et donc, la RATP, est légitimement fondée à ne pas reprendre le versement du salaire, le contrat de travail se trouvant suspendu.
Il vous faut donc impérativement solliciter une visite de reprise afin que le médecin du travail prenne, ou confirme, une décision d’inaptitude définitive pour que la RATP soit dans l’obligation de reprendre le versement de votre ancien salaire, sans délai de carence, si elle ne vous a pas reclassé ou réformé.
En effet, le délai de carence d’un mois prévu à l’article L.1226-4 à compter duquel l’employeur doit reprendre le paiement du salaire ne trouve pas à s’appliquer à la RATP.
Le principe d’égalité de traitement commande à la Régie de ne pas faire application de ce délai, dès lors qu’au visa de l’article 107 du statut elle maintient, au premier jour de l’inaptitude provisoire à l’emploi statutaire, le salaire de l’agent même s’il n’est pas reclassé. Elle ne peut donc opérer à une différence de traitement sans encourir le grief d’une discrimination à l’état de santé.
Par suite, les agents dont il est fait référence dans le tract de la CGT-RATP n’ayant pas été réformé, la RATP est tenue de procéder au rappel des salaires dus à compter de l’avis d’inaptitude définitive.
C’est exactement ce que la CGT-RATP aurait dû leur expliquer si, bien sûr, elle entendait leur apporter une aide concrète et informer la collectivité des agents.
Or, force est de constater que ce n’est pas ce qu’elle a fait. Elle n’a pas non-plus dénoncé les licenciements qui se produisent depuis plusieurs années par le biais de la réforme « pour impossibilité de reclassement » prononcée sur le fondement -- totalement erroné -- de l’article 99 du statut (les agents ne bénéficiant pas à la suite d’une pension de retraite proportionnelle), ni indiquer qu’elle entendait contester la légalité de la nouvelle IG 6A édictée le 1er mars 2017 par la Régie dans le seul but de priver les agents de leurs droits.
Ne vous laissez pas berner ! Si la CGT-RATP ou d’autres syndicats veulent réellement défendre vos droits en matière de réforme, le SAT les invite alors à se joindre à son recours déposé devant le Tribunal administratif de Paris le 19 janvier 2018 contre l’IG 6A (il est en pièce jointe). Tout le reste n’est que blabla… du vent… de l’enfumage… la preuve qu’ils (les dirigeants de vos syndicats) roulent non pas dans l’intérêt des agents mais pour celui de leur carrière (la politique de l’autruche rimant souvent à la RATP avec promotion).
Constatez que des agents inaptes définitifs se trouvent ainsi plongés dans la plus grande précarité et les y laisser est profondément « honteux » de la part de la CGT-RATP.
Pour vous servir.
RB.
N’oubliez pas de vous abonner à notre newsletter (http://autonome.over-blog.com à la fin de la page d’accueil) afin de recevoir, dès sa parution, mon prochain édito. Partagez au maximum cet édito avec vos collègues (par mail ; facebook), l’édito est téléchargeable sur le blog, vous participerez ainsi au réveil dont ont besoin les agents et de facto, à la révolution syndicale en marche à la RATP et nécessaire pour que vos droits soient respectés.
Fidèle à ses engagements et dans un esprit de transparence, le SAT-RATP revient vers vous, pour vous informer de l’avancement des discussions sur les perspectives d’évolutions des activités des agents des Gares et Stations. Le SAT-RATP a été reçu en audience le 06 février 2018.
UN SAV EN FRONT OFFICE SUR TOUS LES LIEUX DE CONTACT.
Les AAM pourraient échanger directement un passe hs ou en fin de vie avec l’outil SIG comme le font les AE actuellement.
LA FIN DES MUTATIONS
Désormais les AAM répondraient à des fiches de poste comme les AE pour changer de ligne. Il faudra donc avoir un avis favorable de son encadrement de proximité pour pouvoir espérer passer un entretien (le réussir ou pas) pour pouvoir changer de ligne et se rapprocher de son domicile !!!!
LA SEMI SPECIALISATION SUR CERTAINES FONCTIONS DES AE
Semi spécialisation sur la fonction ACE (chef d’équipe MDT, chef d’équipe opération commerciale). Sur la fonction ACEI dans les PCS = ACEI +
Les AE en CEI ne seront pas ACEI +
La direction propose une semi spécialisation sur ces fonctions uniquement et non une spécialisation, car la polyactivité est toujours préconisée pour les AE comme pour les AAM. Elle précise aussi que les AE gares pourront occuper des postes de vente.
Une vrai reconnaissance des Assistants Formateurs
Ces AE pourraient animer des modules de formation sur leurs unités et à IFR, ces AF identifiés et reconnus constitueraient un vivier de potentiels futurs formateurs à IFR s'ils sont promus agent de maîtrise. Tous les AF ne seront pas promus agent de maitrise.
PAME
Les missions devraient évoluer avec la possibilité de pouvoir postuler pour intégrer une équipe sur une autre unité en détachement.
DISPARITION DES SOUS SECTEURS
La direction envisage la mise en place de zones d’attachement, avec une prise de service sur ces zonespour effectuer les missions non postées (lutte contre la fraude, canalisation, opérations commerciales...) Quelles seront ces zones? On ne sais pas ! La direction reste floue.
MISE EN PLACE D'UNE EXPERIMENTATION
Cette expérimentation sur des stations type 5 (aériennes) , les agents seront en comptoir d'information pendant les heures pleines et quitteront leur postes pour former une équipe mobile en ilotage qui interviendrait à pied en cas de besoin dans l'une des stations du sous-secteur Corvisart pendant les heures creuses.
D'autres audiences sont prévues dans les semaines à venir. Nous ne manquerons pas de vous informer.